On associe souvent les grandes villes comme Montréal, Vancouver ou Toronto aux immeubles, festivals, restaurants et magasinage.
On oublie souvent que la nature se trouve à deux coins de rue. Que ce soit un raton laveur qui habite sur le toit et le phoque qui se prélasse au port, les plantes et les animaux sont partout.
La vie urbaine nous a fait oublier (pour la plupart) comment jouir des plaisirs subtils de la nature : le chant d’un merle, l’odeur des tulipes, les cabrioles d’une marmotte.
Dans mes relations avec les participants du CCC, j’espère discuter de la biodiversité urbaine et trouver des moyens de mieux en profiter. Étant donné la diversité de mes collègues, il sera intéressant de connaître leurs idées et d’en apprendre davantage sur les innovations.
Avec cette idée en tête, j’aimerais utiliser la biodiversité urbaine comme moyen de faire sortir les gens et de les faire explorer la splendeur de notre monde naturel. Les avantages physiques et psychologiques du temps passé dehors, si bref soit-il, sont des raisons suffisantes de faire sortir les gens.
Heureusement, le Canada a une faune vaste et riche qui nous appelle à la découvrir et, de plus grande importance, à la protéger. En invitant nos concitoyens canadiens à sortir dehors, à participer à de simples activités comme la randonnée ou la planche à bras, la conservation et protection de l’environnement ne peut que continuer à gagner du terrain dans la sphère de l’opinion publique.
Notre pays est magnifique et mérite qu’on l’aide à le rester!